La France est l’un des pays pionniers en matière de formation et de pratiques ostéopathiques pour les animaux. La profession attire chaque année de nombreux passionnés. Mais les jeunes diplômés d’ostéopathie animale font face à d’importantes difficultés à la sortie de l’école. La fédération française d’ostéopathie animale a souhaité porter ces questions à l’Assemblée nationale. Plusieurs députés ont, à diverses reprises, interrogé le ministre de l’agriculture Julien Denormandie, à ce sujet.
- Corinne Vignon, député de La République en Marche – Haute-Garonne, a souhaité attirer l’attention de M. le ministre de l’agriculture et de l’alimentation sur le coût de l’examen organisé par le conseil national de l’ordre des vétérinaires (CNOV). Voir la question
- Florence Lasserre, député du Mouvement Démocrate (MoDem) et Démocrates apparentés – Pyrénées-Atlantiques, a interpellé M. le ministre de l’agriculture et de l’alimentation sur l’asymétrie entre vétérinaires et ostéopathes animaliers en matière de cotisations au Conseil national de l’Ordre des vétérinaires (CNOV). Lire la question
- Florence Lasserre a par ailleurs interrogé M. le ministre de l’agriculture et de l’alimentation sur les délais d’attente auxquels doivent faire face les personnes convoquées à l’examen du Conseil national de l’Ordre des vétérinaires (CNOV) en vue de devenir ostéopathe animalier. Lire la question
Les membres du bureau sont fiers d’avoir porté ses questions essentielles à notre profession à l’Assemblée nationale.
En effet, la FFOA a pour but d’encourager toutes les actions qui tendent à la reconnaissance et l’autonomisation de de la profession, ainsi que la promotion d’une organisation représentant l’ostéopathie animale, autonome et indépendante.